Réalisé par Kim O'Bomsawin. D’abord sensoriel, laissant s’exprimer de manière brute les mots de Joséphine Bacon, seule face à la nature immense (mer, ruisseaux, troncs rejetés, rochers usés...), à la forêt et au ciel éternels (lichens, mousses, étoiles, aurores boréales...), ce documentaire devient ensuite historique et culturel, voire ethnographique... Depuis son arrivée à Montréal en 1952, jusqu’au début de la célébrité en 2003, l’auteure nous accompagne sur des lieux chargés de souvenirs, soulignant l’impact du temps, décrivant une époque de survie, l’amitié avec un castor prénommé Fidèle (on vous laissera découvrir pourquoi...), nous embarquant ensuite dans son univers suite à une traversée en bateau. Cordialement. Innu writer Joséphine Bacon exemplifies a generation that is bearing witness to a time that will soon have passed away. La poétesse innue Joséphine Bacon entraîne la réalisatrice et son équipe dans les rues de Montréal, où elle s’est établie à la fin des années 1960, et dans la région de Baie-Comeau, sur les terres ancestrales qui l’ont vue naître. 2013. français ... Ici, on aime l'esprit critique. Traductrice, enseignante, documentariste et passeuse de la tradition auprès des cinéastes Gilles Carle et Arthur Lamothe entre autres, elle publie son premier recueil de poésie en 2009. Je m’appelle humain (2020) Version française: Je m'appelle humain. L’Innue mène, avec le sourire et joie de vivre, une certaine sérénité aussi, sa lutte pour éviter la disparition de la langue, de la culture et des traditions des siens. Cinéma, Je m'appelle humain - Critique . Je m 'appelle humain : femme lumineuse, film lumineux Entourée d'amies proches et marchant sur le territoire de ses ancêtres innus, la poétesse Joséphine Bacon, 73 ans, revient sur les grands évènements qui ont marqué sa vie et sur sa quête incessante de faire vivre et de préserver sa langue et sa culture. CRITIQUE / Il y a quelque chose de frappant lorsqu’on visionne Je m’appelle humain, le lumineux portrait de Joséphine Bacon filmé par Kim O’Bomsawin : l’importance qu’accorde la poétesse à la transmission du savoir et à la vénération de ses ancêtres. Je m'appelle humain : Se souvenir des ancêtres 1/2 ÉRIC MOREAULT Soleil CRITIQUE / Il y a quelque chose de frappant lorsqu'on visionne Je m'appelle humain, le lumineux portrait de Joséphine Bacon filmé par Kim O'Bomsawin : l'importance qu'accorde la poétesse à … With charm and diplomacy, she leads a charge against the loss of a language, a culture, and its traditions. Une belle manière d’approcher ce qui persiste, malgré le monde moderne, d’un peuple devenu presque invisible, au travers des mots et de l’attachant visage de l’auteure, qui se décrit elle même comme « la survivante d’un récit qu’on ne raconte plus ». Je m’appelle humain est un voyage en cinéma direct et en animation dans l’imaginaire – et dans le réel – des mondes de la femme de lettres innue Joséphine Bacon. kdbuzz.com. Dans la langue de Joséphine, innu signifie humain... Je m’appelle humain est présenté en VSD sur la plateforme du Cinéma du Musée ainsi qu’au Lido de Rimouski. Rappelons que Je m’appelle humain a connu un immense succès populaire et critique lors de son lancement cet automne, et récompensé dans plusieurs festivals. Il a remporté deux fois le titre du Meilleur documentaire canadien, au VIFF et au CIFF, en plus des prix du public au CIFF et à CinéFest Sudbury, et du prix du jury collégial au FCVQ. Jeune adulte, elle s'installe à Montréal où elle vit depuis. kdbuzz.com. Infos. Type : Culturel Public : Tous Lieu : Virtuel Coût : Gratuit sur inscription. S.v.p., consultez Mon Compte. Le Prix collégial du cinéma québécois (PCCQ), parrainé par Québec Cinéma, annonce aujourd’hui que le film Je m’appelle humain de la réalisatrice Kim O’Bomsawin remporte le prix de son édition 2021.Le film lauréat a été annoncé samedi soir, lors d’un direct sur la page Facebook du PCCQ, au terme de deux journées de délibération. Le film, réalisé par Kim O’Bomsawin et sorti en novembre dernier, est un documentaire poétique comme il s’en fait rarement. dameskarlette.com. Le cinémascope s’impose sournoisement dans ce très beau film, alors qu’il s’agit d’une œuvre intimiste, quasi confidentielle, d’une confession à mi-voix. Une belle occasion de redécouvrir ce territoire magnifique que nous partageons. Entre le ciel et la terre, la ville et le territoire, la spiritualité traditionnelle et le catholicisme, entre la mémoire du passé et … Je m’appelle humain propose une incursion dans l’histoire aux côtés de Joséphine Bacon, une femme libre qui a consacré sa vie à transmettre son savoir et celui de ses ancêtres. Dans sa langue, innu veut dire «humain… Héritière d’une tradition orale, celle du peuple innu, elle est devenue un véritable phénomène dans le monde de la poésie, au Québec depuis le milieu des années 2000…. L'information sur le film, genre, classement, durée, photos, bande-annonce, synopsis et critiques des usagers. Menu. CRITIQUE / Il y a quelque chose de frappant lorsqu’on visionne. Elle joue du contraste entre la ville (Joséphine demeure à Montréal) et la nature, entre l’hiver et l’été, entre la vieillesse et la jeunesse pour illustrer la personnalité multiple de Joséphine Bacon. Movies. Dans sa langue, innu veut dire « humain ». Festival du Film court francophone de Vaulx en Velin, LE VIEUX QUI NE VOULAIT PAS PAYER L'ADDITION. Elle-même fut enfermée, c’est le bon mot, dans un pensionnat à Maliotenam (proche de Sept-Îles) de 5 ans à 19 ans dans un but d’assimilation — l’enfant n’avait pas le droit de retourner dans sa famille, à Pessamit. Pour mémoire, le titre Je m’appelle humain, outre qu’il renvoie à l’un des poèmes de Joséphine Bacon, agit comme un rappel que le mot innu signifie « … Née en 1947 au sein de la communauté innue de Pessamit, Joséphine Bacon est scolarisée dans un pensionnat autochtone dès l'âge de 5 ans. Elle est depuis considérée comme une autrice importante au pays. Discussion autour du film JE M’APPELLE HUMAIN, de Kim O’Bomsawin.. Présenté dans le cadre de la troisième édition en ligne du festival Ciné Vert.. Avec Joséphine Bacon, poétesse et réalisatrice innue. Je m’appelle humain retrace aussi l’arrivée de Joséphine Bacon à Montréal en 1968 et le choc subséquent — elle y fut un temps itinérante… Mais aussi les principaux lieux qui ont marqué sa vie, comme un pèlerinage. Il a remporté deux fois le titre du Meilleur documentaire canadien, au VIFF et au CIFF, en plus des prix du public au CIFF et à CinéFest Sudbury, et du prix du jury collégial au FCVQ. Traductions en contexte de "je m'appelle" en français-roumain avec Reverso Context : je ne m'appelle, je m'appelle john, comment je m'appelle, je m'appelle jack, je m'appelle sam Je m’appelle humain Impossible de ne pas être émerveillé par la poète innue Joséphine Bacon. Description : Le témoignage de Joséphine Bacon révèle un aspect primordial : l’incarnation d’une époque bientôt révolue. CRITIQUE / Il y a quelque chose de frappant lorsqu’on visionne Je m’appelle humain, le lumineux portrait de Joséphine Bacon filmé par Kim O’Bomsawin : l’importance qu’accorde la poétesse à la transmission du savoir et à la vénération de ses ancêtres. Au delà c’est toute une tradition orale, l’éloignement de l’écrit, une relation fusionnelle et respectueuse avec la nature, et un attachement à ses origines (le peuple Innu – terme qui signifie « humain » -, l’un des peuple premiers originaire de l’Est de la péninsule du Québec-Labradorqui) traverse l’ensemble du film, tout comme les mots de Joséphine Bacon semblent couler avec naturel. Call me Human (2020) réalisé par Kim O'Bomsawin. Fiche technique du film Je m'appelle humain sur Panorama-Cinéma, la revue de cinéma en ligne. La poétesse innue de Mashteuiatsh incarne la relève, mais aussi l’amitié. Sur les traces de Papakassik, le maître du caribou, Je m’appelle humain propose une incursion dans l’Histoire d’un Peuple multimillénaire aux côtés d’une femme libre qui a consacré sa vie à transmettre son savoir et celui de ses ancêtres. L’animation est assurée par Daniel Racine. Lisez notre critique ici. Le premier roman de Quentin Tarantino : Once Upon a Time in Hollywood. En poursuivant votre navigation sans modifier vos paramètres, vous acceptez l'utilisation de cookies pour réaliser des statistiques de navigation. Rappelons que Je m’appelle humain a connu un immense succès populaire et critique lors de son lancement cet automne, et récompensé dans plusieurs festivals. ”Sauvage“, says Joséphine Bacon, ”means to be wholly free.“ When elders leave us, a link to the past vanishes along with them. ... Je m'appelle humain - Documentaire - 78 min. Joséphine réussira néanmoins à conserver sa langue maternelle, ce qui n’est pas le cas de tous. Télérama vous donne les clés pour mieux comprendre et apprécier (ou non) une offre film, série, documentaire inépuisable. Sur les traces de Papakassik, le maître du caribou, Je m’appelle humain propose une incursion dans l’Histoire d’un Peuple multimillénaires aux côtés d’une femme libre qui a consacré sa vie à transmettre son savoir et ce lui de ses ancêtres. Joséphine Bacon y dévoile la poésie de l’innu-aimun, parle du nutshimit : l’intérieur des terres. Elle refuse d’ailleurs qu’on la considère comme une poétesse. Des extraits d’archives nous font entendre de jeunes adultes incapables de converser autrement qu’en français ou de monter une tente traditionnelle... Quant à Joséphine, son passé a fini par remonter à la surface lorsqu’elle publiera, en 2009, à 62 ans, son premier recueil de poèmes, en français et en innu-aimun : Bâtons à message/Tshissinuatshitakana. L’artiste, qui est également réalisatrice et parolière, se raconte en toute simplicité. Ce contraste permet à Je m’appelle humain, titre on ne peut plus revendicateur, d’exister et de briser le silence. → Plus d’information sur l’événement Facebook : Je m’appelle humain + discussion I Ciné Vert 2021 Dans sa langue, innu veut dire « humain ». La signification du titre? Release Calendar DVD & Blu-ray Releases Top Rated Movies Most Popular Movies Browse Movies by Genre Top Box Office Showtimes & Tickets Showtimes & Tickets In Theaters Coming Soon Coming Soon Movie News India Movie Spotlight. Critique de Je m'appelle humain par Panorama-Cinéma, la revue de cinéma en ligne. Cinéma, Je m'appelle humain - Critique Je m'appelle humain - Call Me Human - est un m agnifique documentaire de Kim O'Bomsawin sur Joséphine Bacon . Je m'appelle Hmmm. Le documentaire, qui a obtenu une mention spéciale en compétition au festival de Québec (FCVQ), est parsemé des poèmes de Joséphine Bacon et de superbes images, en particulier de Mushuau-nipi, campé à mi-chemin entre Schefferville et les monts Torngat, endroit qu’elle affectionne particulièrement. « Je viens de la … Depuis 2014, Kim O’Bomsawin a tourné plusieurs documentaires sur l’univers des Premières Nations, dont Ce silence qui tue (2018). «La poésie, ce sont les moments intimes où tu retournes dans ton âme.». La réalisatrice a obtenu une maîtrise en sociologie avant d’entreprendre sa carrière de cinéaste. Il y a un problème avec votre adresse de courriel et nous ne pouvons pas communiquer avec vous. The Nightingale - Critique . Dieu sait que tout fut fait pour y arriver. Je me demande pourquoi vous donnez une note de 60/100 au film, alors que vous n'expliquez pas ce qui vous a déplu. dameskarlette.com. Cette œuvre de la cinéaste abénakise poursuit cet effort avec sensibilité et humanité. Un très beau film qui nous rappelle de conserver notre cœur d’enfant dans l’émerveillement au quotidien. Possessor de Brandon Cronenberg - Le 7 avril en DVD, Blu-ray et VOD. Vous avez vu « Je m'appelle humain » ? Je m’appelle humain – Bande Annonce from Les Alchimistes on Vimeo. Sur les traces de Papakassik, le maître caribou, Je m'appelle humain propose une incursion dans l'Histoire d'un Peuple multimillénaires aux côtés d'une femme libre qui a consacré sa vie à transmettre son savoir et celui de ses ancêtres. Je m’appelle humain lui rend justice en juxtaposant sa voix aux images, en la laissant se raconter. Joséphine Bacon ne se définit pas elle-même comme poète, elle préfère dire quand dans ses mots simples, les gens trouvent eux-mêmes leur poésie. « JE M’APPELLE HUMAIN », un film de Kim O’Bomsawin, remporte le Prix collégial du cinéma québécois 2021 – Le Prix collégial du cinéma québécois (PCCQ), parrainé par Québec Cinéma, annonce aujourd’hui que le film Je m’appelle humain de la réalisatrice Kim O’Bomsawin remporte le prix de son édition 2021. Je m'appelle humain (2021) cast and crew credits, including actors, actresses, directors, writers and more.
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